RESSENTIS…
QUE SERAIENT DE VRAIS RESSENTIS (pas à la « manie-erre’… ‘t’erre-restes’…) vraiment UNIVERSELS, sinon JOYEUX ?
Quand vous regardez une majorité d’humains, vous remarquez que beaucoup se bloquent côté ressentis doux, vitaux, ceux physiques et émotionnels associés sans excitation.
A l’inverse, cette grande majorité préfère les jeux excités et défis débiles à cascades grotesques, à paris risqués, voire à risques insensés pour leur santé et leur équilibre durables. On copie les pires, car ce serait sensé « faire bien »…!
Pour AVOIR DE VRAIS RESSENTIS, il est normal de sortir des viles villes pleines d’enfermés à vie peureux de bouger à fond, et de faire comme certains animaux à l’extérieur par tous les temps. De se tester en pleine chaleur sur une route de campagne (de voir qu’il y faut plus d’arbres que du macadam à perte de vue, déjà…).
Car, cette sensibilité s’émousse vite pour ceux qui ne sont jamais assez fréquemment en prise avec les éléments naturels de vent et d’eau, ou d’humidité arborée propre (si il en reste…).
Ainsi, je le constate au Massif Central, même chez les paysans éleveurs, agriculteurs…, toujours véhiculés (en tracteurs trop lourds et pas à marcher à côté de leurs percherons…), de plus gros mangeurs, vite à phobies machinistes et productivistes excessives…
Qui ne prêtent même plus attention à ce qu’ils peuvent faire de mieux pour s’éviter des crues et sécheresses (obligatoirement alternées l’une derrière l’autre)…
Qui finissent alors en canicules continentales annuelles, comme en Espagne maintenant presque désertique et sans eau. Niveau cellulaire bouché et inconscient même chez eux ? Oui, hélas !
Tous les maires, députés, dirigeants mondiaux ne devraient être recrutés qu’après avoir fait des stages de jeunesse à défoulement profond en campagne, y mouillant leurs chemises à fond sous des travaux des champs ou forestiers et paysagistes (d’agroforesterie en forêts jardins aménagées).
Pour y ressentir leurs cellules joyeuses, un niveau cellulaire épuré…, les faisant vraiment rire…, qu’ils ne connaîtront jamais autrement (moi-même, l’ex parisien très sportif quand sorti de cette folie à paris intenable…, je l’ai découvert ce ressenti béni et durable en jouant trois semaines le bûcheron solitaire après les tempêtes de 99).
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